ACTION DES CHRETIENS POUR L’ABOLITION DE LA TORTURE « Ce que vous faites au plus petit d’entre les
miens, c’est à moi que vous le faites » - Matthieu (25-40)
« Les sans-papiers » est une des premières chansons de l’acte I de la comédie musicale française Notre-Dame de Paris (1998) basée sur le roman de Victor Hugo.
Un thème toujours d’actualité; en France et ailleurs…
Autres thèmes des droits humains abordés dans cette comédie musicale pendant l’acte II: le procès inéquitable et la torture.
» Mothers of the Disappeared » est une chanson du groupe de rock irlandais U2 . Il s’agit du onzième et dernier titre de leur album de 1987, « The Joshua Tree » . La chanson a été inspirée par le combat des femmes dont les enfants avaient « disparu de force » pendant les heures noires de la dictature en Argentine.
Avec le même thème: écouter la chanson « They dance alone » de Sting – Musique et Droits humains (10).
On remarquera que les percussions ne sont pas sans rappeler la rythmique de la chanson « Biko » de Peter Gabriel ( à ré-écouter dans Musique et Droits humains (#3).
Mothers Of The Disappeared
(Mères Des Disparus)
Midnight, our sons and daughters Minuit, nos fils et filles Were cut down and taken from us Ont été abattus et nous ont été pris Hear their heartbeat Entends le battement de leurs coeurs We hear their heartbeat Nous entendons le battement de leurs coeurs
In the wind we hear their laughter Dans le vent, nous entendons leurs rires In the rain we see their tears Sous la pluie, nous voyons leurs larmes Hear their heartbeat Entends le battement de leurs coeurs We hear their heartbeat Nous entendons le battement de leurs coeurs
Night hangs like a prisoner La nuit est suspendue comme un prisonnier Stretched over black and blue Pendu couvert de bleus Hear their heartbeat Entends le battement de leurs coeurs We hear their heartbeat Nous entendons le battement de leurs coeurs
In the trees our sons stand naked Dans les arbres, nos fils sont nus, debouts Through the walls our daughters cry A travars les murs, nos filles pleurent See their tears in the rainfall Regarde leurs larmes sous la pluie
« …et je rêve/ Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève…/ Oh, oh, Rêver, c’est déjà ça, c’est déjà ça« .
En 1993, la chanson « C’est déjà ça« , aux sonorités très orientales, évoque le pays du Soudan. Sur une musique de Laurent Voulzy, Alain Souchon dénonce les horreurs engendrées par la guerre et évoque l’arrivée des migrants dans les villes d’Europe. Un message qui reste d’actualité…
https://www.youtube.com/watch?v=jBIWL9S32QQ
Je sais bien que, rue d’Belleville,
Rien n’est fait pour moi,
Mais je suis dans une belle ville :
C’est déjà ça.
Si loin de mes antilopes,
Je marche tout bas.
Marcher dans une ville d’Europe,
C’est déjà ça.
Refrain:
Oh, oh, oh, et je rêve
Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève…
Oh, oh,
Rêver, c’est déjà ça, c’est déjà ça.
Y a un sac de plastique vert
Au bout de mon bras.
Dans mon sac vert, il y a de l’air :
C’est déjà ça.
Quand je danse en marchant
Dans ces djellabas,
Ça fait sourire les passants :
C’est déjà ça.
(refrain)
Déjà…
Pour vouloir la belle musique,
Soudan, mon Soudan,
Pour un air démocratique,
On t’casse les dents.
Pour vouloir le monde parlé,
Soudan, mon Soudan,
Celui d’la parole échangée,
On t’casse les dents.
(refrain)
Je suis assis rue d’Belleville
Au milieu d’une foule,
Et là, le temps, hémophile
Coule.
Sortie en 1988, « They dance alone » est une chanson de protestation contre le dictateur chilien Augusto Pinochet. Elle est composée par Sting, l’ex-chanteur du groupe The Police.
La chanson est une métaphore faisant référence aux femmes chiliennes en deuil (arpilleristas) qui dansent la Cueca, la danse nationale du Chili, seules avec des photographies de leurs proches disparus entre leurs mains.
They Dance Alone
(Elles Dansent Seules)
Why are those women here dancing on their own ? Pourquoi toutes ces femmes dansent-elles seules ? Whys is there this sadness in their eyes ? Pourquoi y-a-t-il de la tristesse dans leurs yeux ? Why are the soldiers here Pourquoi les soldats sont-ils là Their faces fixed like stones ? Le visage figé comme de la pierre ? I can’t see what it is they despise Je ne comprends pas ce qu’ils méprisent.
[Chorus] [Refrain] They’re dancing with the missing Elles dansent avec les disparus They’re dancing with the dead Elles dansent avec les morts They’re dancing with the invisible ones Elles dansent avec ceux qui sont invisibles Their anguish is unsaid Leur angoisse est tûe
They’re dancing with their fathers Elles dansent avec leurs pères They’re dancing with their sons Elles dansent avec leurs fils They’re dancing with their husbands Elles dansent avec leurs maris They dance alone Elles dansent seules They dance alone Elles dansent seules
It’s the only form of protest they’re allowed C’est la seule forme de protestation qu’il leur soit autorisé I’ve seen their silent faces J’ai vu leurs visages silencieux They scream so loud Ils hurlent si fort If they were to speak these words Si elles devaient y mettre des mots They’d go missing too Elles aussi disparaitraient Another woman on the torture table Une autre femme sur la table de torture What else can they do ? Que d’autre peuvent-elles faire ?
One day we’ll dance on their graves Une jour nous danserons sur vos tombes One day we’ll sing our freedom Un jour nous chanterons notre liberté One day we’ll laugh in our joy Un jour nous exprimerons notre joie par nos rires And we’ll dance (twice) Et nous danserons ( deux fois)
Ellas danzan con los desaparecidos Elles dansent avec les disparus Danzan con los muertos Elles dansent avec les morts Danzan con amores invisibles Elles dansent avec leurs amours invisibles Con silenciosa angustia Avec une angoisse silencieuse Danzan con sus padres, con sus hijos, con sus esposos Elles dansent avec leurs pères, avec leurs fils, avec leurs époux Ellas danzan solas, danzan solas Elles dansent seules, dansent seules
Hey Mr Pinochet, you’ve sown a bitter crop Hé M. Pinochet, tu as semé une récolte amère It’s foreign money that supports you C’est l’argent de pays étrangers qui te soutient One day the money is going to stop Un jour l’argent ne rentrera plus No wages for your torturers Plus de salaires pour tes tortionnaires No budget for your guns Plus de budgets pour tes armes Can you think of your own mother Peux-tu imaginer ta propre mère Dancin’ with her invisible son ? En train de danser avec son fils invisible ?
En 1978, Jean-Loup Dabadie compose la chanson « L’assassin assassiné« , un plaidoyer tout en finesse contre la peine de mort. Une fois son morceau achevé, il parvient à convaincre Julien Clerc, un de ses plus brillants interprètes, de chanter cette chanson en direct dans une émission sur FR3.
Aussitôt, le titre connaît un fort impact. Robert Badinter, farouche partisan de l’abolition envoie une lettre de félicitations au chanteur.
Julien Clerc enregistre la chanson l’année suivante sur l’album « Sans entracte »; deux ans avant l’abolition de la peine de mort en France.
Une chanson à réécouter à la veille du 10 octobre, journée internationale contre la peine de mort…
C’était un jour à la maison
Je voulais faire une chanson
D’amour peut-être
À côté de la fenêtre
Quelqu’un que j’aime et qui m’aimait
Lisait un livre de Giono
Et moi penché sur mon piano
Comm’ sur un établi magique
J’essayais d’ajuster les mots
À ma musiqueLe matin même, à la Santé
Un homme, un homme avait été
Exécuté
Et nous étions si tranquilles
Là, au cœur battant de la ville
C’était un’ fin d’après-midi
À l’heure où les ombres fidèles
Sortant peu à peu de chez elles
Composent doucement la nuit
Comm’ aujourd’huiIls sont venus à pas de loup
Ils lui ont dit d’un ton doux
C’est le jour, c’est l’heure
Ils les a r’gardés sans couleur
Il était à moitié nu
« Voulez-vous écrire une lettre? »
Il a dit « Oui » il a pas pu
Il a pris une cigarette
Sur mon travail tombait le soir
Mais les mots restaient dans le noir
Qu’on me pardonne
Mais on ne peut certains jours
Écrire des chansons d’amour
Alors j’ai fermé mon piano
Paroles et musique de personne
Et j’ai pensé à ce salaud
Au sang lavé sur le pavé
Par ses bourreaux
Je ne suis président de rien
Moi je ne suis qu’un musicien
Je le sais bien
Et je n’prends pas de pose
Pour dire seulement cette chose
Messieurs les assassins commencent
Oui, mais la société recommence
Le sang d’un condamné à mort
C’est du sang d’homme, c’en est encore
C’en est encore
Chacun son tour, ça n’est pas drôle
On lui donne 2, 3 paroles
Et un peu d’alcool
On lui parle, on l’attache, on le cache
Dans la cour un grand dais noir
Protège sa mort des regards
Et puis ensuite, ça va très vite
Le temps que l’on vous décapite
Si je demande qu’on me permette
À la place d’une chanson
D’amour peut-être
De vous chanter un silence
C’est que ce souvenir me hante
Lorsque le couteau est tombé
Le crime a changé de côté
Ci-gît ce soir dans ma mémoire
Un assassin assassiné
Assassiné
Assassiné
Depuis le milieu des années 80, le groupe de rock irlandais U2 défend la cause des Droits de l’Homme par la promotion d’Amnesty International pendant ses concerts; par sa participation au Live Aid… et par ses textes, comme en 1984 avec « Pride » (Au nom de l’Amour) à propos de Martin Luther King et de son combat non violent pour les droits civiques.
Pride (Fierté)
One man come in the name of love Un homme se présente, au nom de l’amour One man come and go Un homme vient et repart One man come, he to justify Un homme vient, pour justifier One man to overthrow Un homme à rejeter
In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour
One man caught on a barbed wire fence Un homme prisonnier d’une clôture barbelée One man he resist Un homme qui résiste One man washed on an empty beach. Un homme naufragé sur une plage vide. One man betrayed with a kiss Un homme trahi par un baiser
In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour
(nobody like you… ) (Personne comme toi… )
Early morning, April 4 Tôt le matin, le 4 avril Shot rings out in the Memphis sky On entend des tirs dans le ciel de Memphis Free at last, they took your life Enfin libéré, ils t’ont enlevé la vie They could not take your pride Ils n’ont pas pu te retirer ta fierté
In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love Quoi de plus au nom de l’amour In the name of love Au nom de l’amour What more in the name of love… Quoi de plus au nom de l’amour…
Sortie en 1988, « Asimbonanga » est l’œuvre du chanteur et musicien sud-africain Johnny Clegg et du groupe Savuka. Johnny Clegg a puisé dans la culture zoulou son inspiration pour concevoir une musique révolutionnaire, où les rythmes africains endiablés cohabitent avec guitare, clavier électrique et accordéon. Chanteur engagé contre l’apartheid, il avait composé le tube planétaire « Asimbonanga » (« nous ne l’avons pas vu » en langue zoulou) dédié à Nelson Mandela, qui était alors prisonnier et dont les photos étaient interdites. Pendant les pires heures du régime raciste sud-africain, les chansons du » zoulou blanc » ont été interdites. Pour contourner la censure, Johnny Clegg a dû se produire – avec son groupe Juluka, formé avec le musicien zoulou Sipho Mchunu – dans les universités, les églises, les foyers de migrants et chez des particuliers.
Nous lui rendons hommage alors qu’il vient de nous quitter ce mardi 16 juillet 2019.
Asimbonanga (Mandela) (Nous Ne L’avons Pas Vu (Mandela) )
Asimbonanga Nous ne l’avons pas vu Asimbonang’ uMandela thina Nous n’avons pas vu Mandela Laph’ekhona A l’endroit où il est Laph’ehleli khona A l’endroit où on le retient prisonnier
Oh the sea is cold and the sky is grey Oh, la mer est froide et le ciel est gris Look across the Island into the Bay Regarde de l’autre coté de l’Ile dans la Baie We are all islands till comes the day Nous sommes tous des îles jusqu’à ce qu’arrive le jour We cross the burning water Où nous traversons la mer de flammes
[Refrain]
A seagull wings across the sea Un goéland s’envole de l’autre coté de la mer Broken silence is what I dream Je rêve que se taise le silence Who has the words to close the distance Qui a les mots pour faire tomber la distance Between you and me Entre toi et moi ?
[Refrain]
Steve Biko, Victoria Mxenge, Neil Aggett Steve Biko , Victoria Mxenge , Neil Aggett
Asimbonanga Nous ne l’avons pas vu(e) Asimbonang ‘umfowethu thina (Asimbonang ‘umtathiwethu thina) Nous n’avons pas vu notre frère (Nous n’avons pas vu notre soeur) Laph’ekhona A l’endroit où il (elle) est Laph’wafela khona A l’endroit où il (elle) est mort(e)
Hey wena, hey wena Hé, toi ! Hé toi ! Hey wena nawe Hé toi, et toi aussi ! Siyofika nini la’ siyakhona Quand arriverons nous à destination ?
« Mandela Day« est une chanson du groupe de rock écossais Simple Minds. Écrite spécialement pour le concert hommage des 70 ans de Nelson Mandela, elle paraît en février 1989 pour soutenir Nelson Mandela toujours emprisonné en Afrique du Sud pour sa lutte contre l’apartheid.
Mandela Day Le Jour De Mandela
It was twenty five years, they take that man away C’était il y a vingt-cinq ans, ils emprisonnèrent cet homme Now freedom moves in closer every day Maintenant la liberté se rapproche de jour en jour Wipe the tears down from your saddened eyes Chassez les larmes de vos yeux remplis de tristesse They say Mandela’s free, so step outside Ils disent que Mandela est libre, alors sortez dehors
Oh oh oh oh oh Mandela day Oh oh oh oh oh Le jour de Mandela Oh oh oh oh Mandela’s free Oh oh oh oh Mandela est libre
It was twenty five years ago, this very day C’était il y a vingt-cinq ans que s’est passé ce fameux jour Held behind four walls all through night and day Retenu entre quatre murs jour et nuit Still the children know the story of that man Les enfants connaissent encore l’histoire de cet homme And we know what’s going on right through your land Et nous savons ce qui se passe partout dans votre pays Twenty five years ago… Il y a vingt-cinq ans
Na na na na Mandela day Na na na na Le jour de Mandela Oh oh oh oh Mandela’s free Oh oh oh oh Mandela est libre
If the tears are flowing wipe them from your face Si les larmes coulent chassez-les de votre visage I can feel his heartbeat moving deep inside Je peux ressentir au plus profond de moi les battements de son cœur It was twenty five years they took that man away C’était il y a vingt-cinq ans, il emprisonnèrent cet homme And now the world come down say Nelson Mandela’s free Et maintenant le monde se prosterne, ils disent que Nelson Mandela est libre
The rising sun sets Mandela on his way Le soleil levant montre à Mandela son chemin It’s been twenty five years around this very day Il a fallu vingt-cinq ans pour arriver à ce fameux jour From the one outside to the ones inside we say Nous qui sommes à l’intérieur parlons par la voix de celui qui est libre
Oh oh oh oh Mandela’s free, Oh oh oh oh Mandela est libre Oh oh oh oh set Mandela free Oh oh oh oh libérez mandela Na na na na Mandela day, Na na na na Le jour de Mandela Na na na na Mandela’s free Na na na na Mandela est libre
Twenty five years ago Il y a vingt-cinq ans What’s going on ! Que se passe-t-il ! And we know what’s going on Et nous savons ce qui se passe Because we know what’s going on Parce que nous savons ce qui se passe
« Frappe avec ta tête » est une chanson du chanteur, auteur-compositeur Daniel Balavoine. Sortie en octobre 1983, elle évoque la torture dans les dictatures d’Amérique latine. Elle est dédiée au pianiste argentin Miguel Angel Estrella, défenseur des Droits de l’Homme.
Sous la torture
Derrière les murs
Les yeux remplis d’effroi
L’homme aux vœux purs
Souffre et endure
Les coups sourds de la loi
Noyés par les bulles rouges
Ses mots muets
S’élèvent et s’écrasent sur la paroi
L’écrivain plie mais ne rompt pas
Ressent une étrange douleur dans les doigts
Délire en balbutiant qui vivra vaincraDans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s’inquiète
L’homme que l’on croyait endormi
Frappe avec sa tête
A court d’idées
Ils t’ont coupé
Et ta langue et les doigts
Pour t’empêcher
De t’exprimer
Mais ils ne savent pas
Qu’on ne se bat pas
Contre les hommes
Qui peuvent tout surtout pour ce qu’ils croient
Et l’homme infirme retrouve sa voix
Défie le monde en descendant de sa croix
Et sort la liberté de l’anonymat
Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s’inquiète
L’homme que l’on croyait endormi
Frappe avec sa tête
Sorti en septembre 1986, le single « Noir et blanc » de Bernard Lavilliers et Nzongo Soul évoque l’apartheid, le combat de Nelson Mandela et les Droits de l’Homme. Un titre qui n’a pas pris une ride…
C’est une ville que je connais
Une chanson que je chantais.
Y a du sang sur le trottoir
C’est sa voix, poussière brûlée
C’est ses ongles sur le blindé.
Ils l’ont battu à mort, il a froid, il a peur.
De n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur.
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu’on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux.
Il jouait d’la dérision
Comme d’une arme de précision.
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur,
La musique a parfois des accords majeurs
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.
De n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l’intérieur.
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d’ton attitude
C’est cent ans de solitude.
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo.
Au-dessous du volcan, je l’entends, je l’entends
J’entends battre son cœur.
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur.
De n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l’intérieur.
C’est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble.
C’est la voix de Mendela
Le tempo docteur Fela
Ecoute chanter la foule
Avec les mots qui roulent et font battre son cœur.
De n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l’intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso… Pe Na Pikolo Nionso
07/10/2025: Soirée Cinéma au Sélect à 20h30 à Sélestat.
18/10/2025: Rassemblement régional à Strasbourg.
05/11/2025: Réunion mensuelle Acat à 14h à Sélestat
L’ ACAT en quelques mots…
L’ACAT est l'ONG des chrétiens engagés pour les droits humains. L’ACAT œuvre depuis sa création en France en 1974 pour l'abolition de la torture et de la peine de mort partout dans le monde et pour la défense du droit d'asile.
Ne les oublions pas
Ces personnes sont menacées, emprisonnées, battues, torturées, maintenues en détention ou risquent à tout moment d’être exécutées. Elles viennent du Bénin, de Colombie, d’Iran, de Russie, du Japon ou d’ailleurs, et sont réprimées en raison de leur engagement politique et/ou pour les droits humains.
SOUTENEZ-LES !
Par une prière, une lettre ou un courriel à leur famille.
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